Albert Camus: Noces, (suivi de) L'été, Éditions Gallimard, 1959
DE La mer au plus près (in L'été):
" ... Un brusque amour, une grande oeuvre, un acte décisif, une pensée qui transfigure, à certains moments donnent la même intolérable anxiété, doublée d'un attrait irrésistible. Délicieuse angoisse d'être, proximité exquise d'un danger dont nous ne connaissons pas le nom, vivre, alors, est-ce courir à sa perte? À nouveau, sans répit, courons à notre perte.
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